Notre premier salon Mariage & Limonade c'est dimanche !
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Bonjour,
Je vous avais parlé ici, de notre projet avec mon amie Sandrine,
ça y est notre petit groupe de prestataires mariage s'est étoffé au fil des jours
et nous voici prêts ou presque pour vous inviter à notre premier salon du mariage,
ce weekend le dimanche 18 Octobre 2015, de 14h à 18h30
à Hendaye à l'hôtel Bellevue.
Si vous habitez la région et que c'est bientôt le jour J
ou si vous êtes curieux tout simplement,
venez nous rencontrer, ce sera avec plaisir.
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Allez je file continuer les préparatifs, il faut que je termine la déco ! Surprise !!!
Et si un tuto d'attrape rêves vous intéresse, c'est par ICI.
Un peu de culture source Wikipédia :
Dans la culture amérindienne, un capteur de rêves ou attrapeur de rêves est un objet artisanal ojibwé appelé asubakatchin composé d'un anneau, généralement en saule, et d'un filet lâche. Les décorations qui le composent sont différentes pour chaque capteur de rêves. Selon une croyance populaire, le capteur de rêve est censé empêcher les mauvais rêves d'envahir le sommeil de son détenteur.
Tissé un peu comme une toile d'araignée, il a pour fonction de filtrer tous les rêves, il conserve les belles images de la nuit et brûle les mauvaises aux premières lueurs du jour.
La légende veut que les rêves traversent la toile, les bons rêves se dirigent vers les plumes et ressortent pour rester dans la chambre, les mauvais rêves sont emprisonnés dans les perles situées sur la toile jusqu'au lever du soleil. Aux premiers rayons de lumière, les mauvais rêves seront brûlés.
Légende huronne du capteur de rêves :
Il y a bien longtemps, lorsque le monde était encore jeune, dans un village autochtone, un Amérindien dormait avec ses frères et ses sœurs dans leurs maison longue.
Un jour, l’homme partit à la chasse pour aller chercher le repas pour les prochaines lunes. Il partit loin, afin de trouver un orignal s’abreuvant d'eau de source pure coulant de la montagne. Il traversa rivières et fleuves avec courage et détermination, sans apercevoir de chevreuils, ni d’orignaux dans les environs. Il décida alors de partir vers une montagne, songeant que le repas allait bientôt être servi. En chemin, il aperçut une grotte immense dans laquelle pouvait se trouver n’importe quelle bête. Il y entra en y projetant tous ses espoirs.
Dans la grotte, l’orignal était absent. A la place un esprit malveillant s'y trouvait. L’homme se sentit mal, certain d'une sombre présence dans ces profondeurs. C’est alors qu’une bête surgit. Des yeux couleur de sang, un poil noir comme la nuit, un museau retroussé et des crocs prêts à mordre la chair. L’homme sursauta et s'enfuit, paniqué, abandonnant son arc derrière lui, avec une minuscule lueur d’espoir de rester en vie.
De retour au village, l’homme avait les bras vides. Pas de nourriture, ni d’armes pour chasser d’autres bêtes. Et il était terrorisé à l’idée de retourner à la chasse.
Le soir-même, il n’arriva pas à trouver le sommeil. Des qu’il s’endormait, il voyait encore ces deux yeux couleur de sang le fixer et la bête au poil noir prête à le dévorer. Le soir suivant, il essaya de nouveau de dormir, mais sans résultat. Nuit après nuit, lunes après lunes, l’homme ne pouvait plus dormir sereinement. L’esprit de la bête aux yeux de sang le hantait. Plusieurs soleils passaient et rien ne changeait.
Une nuit, l’homme se leva après un cauchemar. Il sortit du village et partit vers la forêt. Mais, exténué, il s’endormit sur le sol couvert de branchages.
Le lendemain à l’aube, l'homme se réveilla impressionné : il n’avait fait aucun cauchemar. Il leva les yeux et aperçut une toile d’araignée où perlait la rosée du matin.
L'homme s’endormit toujours près de la toile qui, au matin, s'illuminait des rayons du soleil.
Puis, il raconta cette histoire à son peuple, qui adopta cette technique.
A bientôt !
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Las Niñas